Pour moi, les roses des sables, c’est la kermesse de mon école primaire. Une madeleine de Proust, sauf que je n’en ai rarement, pour ainsi jamais, remangé depuis.
Pourtant c’est on ne peut plus simple à faire : peu d’ingrédient, 0 cuisson. Alors, un dimanche après-midi pluvieux, je m’y suis mise !