Après une petit pause, oui c’est tout un art de garder le suspens…
Pizza party : the last part !
Maintenant que vous avez fait le plus dur, la pâte et la sauce tomate : il est temps de passer à l’essentiel : la pizza qu’on va dévorer !
Après une petit pause, oui c’est tout un art de garder le suspens…
Pizza party : the last part !
Maintenant que vous avez fait le plus dur, la pâte et la sauce tomate : il est temps de passer à l’essentiel : la pizza qu’on va dévorer !
Il en faut de la motivation pour aller à East Mamma. On sait tous qu’il faut s’attendre à faire la queue, les réservations n’étant pas possibles. Donc, j’ai pris quelques mes précautions en décidant d’y aller un samedi midi (les hipsters dorment encore à cette heure-là, non?). Et bien, figurez-vous qu’en arrivant 30 minutes avant l’ouverture, il y avait déjà une petite queue. J’avais quand même quelques appréhensions : est ce que ce restaurant vaut vraiment le coup ou sa réputation est-elle surfaite ?
Une petite envie d’exotisme facile à satisfaire ? Voici une recette de saumon teriyaki. Lire la suite
Au cas où vous ne l’auriez pas encore compris, j’adore les plats italiens comme ici, ou là… Pour cette recette, j’ai tout d’abord été séduite par le nom : caponata. Alors oui, dans les oreilles, ça sonne comme Capo, Al Capone, le Parrain. Désolée pour les clichés mais je suis aussi une fan de cinéma, on se refait pas !
Parce que je ne suis pas qu’une blogueuse culinaire mais aussi un peu geekette sur les bords et grosse cinéphile, je me suis fait offrir, il y a quelques temps, Gastronogeek.
Ce livre reprend des recettes issus de films ou de séries. Si vous vous êtes toujours demandé à quoi bien ressembler, pour de vrai, la cantine de Poudlard ou tester les fameux soufflés de Clara, la compagne du Docteur : ce livre est pour vous ! Il y en a pour tout le monde : impossible que vous ne connaissiez pas une des références du livre.
Aujourd’hui, j’avais envie de faire un petit cheesecake et devinez quoi ?Retour vers le futur est un de mes films préférés ! Alors, ni une, ni deux, me voilà aux fourneaux !
Les röstis sont des galettes de pommes de terre. D’origine suisse, ce plat quoiqu’un peu fat, est délicieux ! Il remplacera sans problème les frites ou les pommes de terre sautées.
Pour 10 röstis environ :
On commence par râper les pommes de terre et l’oignon. Alors, c’est vite comme ça, mais à la main, c’est un peu plus long. Sinon, il y a aussi le robot. Mais choisir la facilité, c’est très surfait !
Ensuite, ce n’est pas fini, si vous pensez avoir échapper à l’effort… C’est raté !
Il faut maintenant prendre tout ce tas de râpé et le serrer très très fort dans un torchon (propre c’est mieux). Imaginez- vous en train tordre le coup de celui qui vous a spoilé la fin de la saison de 5 ou 6 de Game Of Thrones (réflexion faite, ça marche avec toutes les saisons).
Une fois que vous avez donné votre maximum, il faut faire des petits tas, comme des galettes, équivalent à 2 cuillères à soupe de râpé.
Ensuite, on mets le beurre et l’huile dans une poêle et on laisse chauffer. J’ai pris une poêle pas trop large, avec des bords hauts afin que les röstis dorent bien.
Si vous avez des petits bras comme les miens, vous vous rendrez vite compte que toute l’eau n’est pas partie, mais ce n’est pas grave. Les premiers röstis mettront un tout petit peu plus de temps à dorer.
On laisse donc dorer des deux côtés.
On sort et on dépose sur du sopalin pour absorber l’excès de gras. Rassurez-vous : du gras, il va en rester suffisamment ! On renouvelle l’opération jusqu’à épuisement des galettes.
On peut servir avec du saumon fumé, une petite salade, ou du jambon. Voire, un matin de gueule de bois, avec du bacon et des oeufs : le petit-déj’ de champion, quoi ! En tout cas, ces petites galettes vous tiendront chaud l’hiver.